Seule la catégorie A voit ses chiffres baisser de 3,1 % sur 3 mois consécutifs et de 3,4 % sur 1 an. Pour les autres, la potion est amère !
Derrière la com’, une réalité amer
Sur 1 an, les demandeurs d’emploi, toutes catégories confondues, sont passés de 6 143 400 à 6 238 400. Ce qui fait encore une augmentation de 1,5 %.
Par ailleurs, les catégories B et C qui regroupent les personnes sous contrats précaires sont passées de 1 878 100 à 2 028 800, soit 8% d’augmentation.
Si nous conjuguons ces chiffres avec la diminution de l’indemnisation, nous ne pouvons pas voir là une embellie mais bel et bien une explosion de la précarité.
Y a-t-il un « modèle » européen qui vise à augmenter la précarité à défaut de lutter contre le chômage ?
La CGT continuera à lutter contre le développement des contrats sans lendemain et pour les 32 heures sans diminution de salaire.
Le travail et les richesses doivent être partagés.